Catégories : Femmes soumises SM camisole Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 3 ans
Une histoire érotique d’amour BDSM avec une femme qui a envie de switcher
Cela fait dix ans que je suis en couple avec Stéphane. Je sais, ça peut paraître bizarre parce que nous avons l’air très jeune, mais nous nous connaissons depuis la maternelle ! Autant vous dire que je n’ai connu que lui comme partenaire, et quelques fois, j’ai l’impression de m’ennuyer dans les bras d’un homme que je ne connais que trop bien. Alors pour briser la routine, je n’hésite pas à me lancer dans des scénarii osés ! La dernière fois, je l’ai attendu quelques minutes en bas de notre immeuble, avec des menottes cachées derrière mon dos.
Quand sa voiture s’est garée comme à son habitude, après une dure journée de boulot, en bas de chez nous, j’ai tapé à sa vitre avant et lui ai fait signe de la baisser. « Vous êtes en infraction Monsieur ! Veuillez me suivre sans protester », lui ai-je alors ordonné. Je lui ai passé les menottes aux poignets et l’ai fait monter jusqu’au salon. Il avait l’air très sérieux et s’est prêté au jeu sans broncher. Super, ça, c’était mon Stéphane : toujours partant pour rentrer dans mes délires les plus fous ! Je lui ai demandé de me déshabiller intégralement en conservant les menottes.
« Comprenez bien, Monsieur, il faut que je sois à l’aise pour vous punir au mieux ! » Il s’est exécuté comme un parfait petit soumis. Il est venu retirer ma grosse doudoune et mon petit top avec les dents, embrassant ma poitrine au passage. « Déshabille-toi, toi aussi ! Tu ne crois quand même pas que tu as le droit de garder tes vêtements alors que je suis presque nue ? » Il a retiré sa chemise, non sans mal à cause des menottes, et est venu s’agenouiller devant moi, torse nu.
Mmmh, un homme rien que pour moi, j’en avais de la chance ! Il fallait que j’en profite. Je suis vite allée chercher mon petit martinet – un cadeau que m’avait offert ma meilleure amie lors de mon enterrement de vie de jeune fille – et je suis venue lui passer autour du cou. De là, je pouvais maîtriser ses moindres gestes. Je n’ai pas réfléchi très longtemps à mon premier supplice : je lui ai plongé la tête sur mon ventre d’abord, puis je l’ai contraint à remonter jusque sur mes seins « Lèche-les, lèche bien tout ! »
Je sentais sa petite langue se glisser entre les plis de mes deux gros mamelons, c’était délicieux. Stéphane avait toujours eu une agilité très développée de la langue, mais il se surpassait quand il devait m’obéir. C’en était très attendrissant. Une fois qu’il a été bien repu de mes seins juteux, il a relevé la tête pour reprendre sa respiration. « Au fait, c’est quoi exactement mon délit ? Parce que j’ai quand même réussi mon créneau du premier coup et j’en suis plutôt fier ! » Ah oui, l’objet du délit ! J’avais pensé à « pas assez de préliminaires durant les trois derniers rapports » ou encore à « s’est masturbé sur ma petite culotte préférée hier soir », mais je me suis dit que le mieux était de ne pas lui en donner !
« Parce que c’est mon bon vouloir, mon petit. Parce que ta vie m’appartient, et que s’il me plaît de te punir, je n’éprouve pas le moindre besoin de me justifier. » Il a eu l’air de trouver ma réponse parfaite et m’a regardé avec un mélange d’amusement et d’admiration. Ça m’a donné envie de lui prouver tout ce que j’avais dans le ventre ! Je l’ai retourné sur le canapé et ai tiré ses bras en arrière.
« Maintenant, tu vas morfler mon petit. Si j’ai été gentille avec toi depuis le début, sache que je trouve que tu poses un peu trop de questions pour quelqu’un qui est en faute grave. Les questions, c’est moi qui les pose. Compris ? » Il n’a pas répondu, sentant bien que je me servirai du moindre de ses propos pour le retourner contre lui. J’ai saisi le martinet que j’avais posé sur notre canapé et j’ai commencé à lui administrer quelques coups sur les reins. Il a poussé de sombres grognements dignes d’un ours pris dans un piège de trappeur avant de fermer définitivement sa bouche et de souffrir en silence. Je suis sûre que, quelque part, ça devait l’exciter.
En tout cas, pour ma part, pas de doute possible : je prenais un pied d’enfer !
Pour l’énerver un peu, j’ai frotté mon bas-ventre contre son cul relevé, comme si j’étais un homme qui lui faisait mesurer l’ampleur et la puissance de son sexe. J’ai appuyé un peu plus sur le haut de son dos pour l’obliger encore plus à se cambrer. « Hey ! Mais je ne suis pas une fille, moi ! » s’est-il écrié dans une protestation rieuse.
« Quoi ? Tu te plains ? Tu es là à contester ma punition au lieu de me remercier de prendre le temps de m’occuper de ta petite et insignifiante personne ? Tu ne sais pas ce que je suis encore prête à te faire subir… »
Vite, il fallait que je trouve une idée pour obliger Stéphane à se taire ! J’ai repensé à ce que m’avaient offert toutes mes amies durant ce fameux enterrement de vie de jeune fille. Il n’y avait pas un bâillon à boule avec ? En un éclair, j’ai fait un aller-retour express de ma chambre jusqu’au salon et je suis revenue avec l’objet tant convoité !
« Tiens ! Prends-le bien en bouche. Ça va certainement calmer ta petite hystérie de chienne en chaleur. »
Il m’a regardée avec de grands yeux, en se demandant si je n’allais pas un peu loin. Je lui ai fait un grand sourire et un clin d’œil, histoire de lui rappeler que tout cela n’était qu’un jeu. Il a eu l’air rassuré et s’est retourné en me tendant ses poignets. J’aimais ces petites barrières qu’il restait encore dans notre couple. J’aimais savoir que, malgré les années qui passaient, il nous restait encore des zones d’ombre, des remparts, des interdits. Et ce que j’aimais surtout savoir, c’est que je pouvais les franchir et les explorer à ma guise !
Stéphane ne bougeait plus. Il était immobile, frémissant, il attendait la suite des événements. Je l’ai fait languir un peu… Ne dit-on pas que l’attente augmente le désir ? Je l’ai laissé face au mur et je suis partie me faire un petit café. « Interdit de te retourner ! » ai-je hurlé pour bien qu’il comprenne. « Tu as soif, mon petit ? » Il a secoué la tête nerveusement, pensant certainement que j’allais verser le café à un endroit qu’il n’aurait pas apprécié. J’ai dégusté ma gorgée chaude en réfléchissant à la suite des opérations. Et si je m’occupais un moment de son petit cul ?
Stéphane n’aimait pas vraiment cette entrée-là, il trouvait ça sale… Et surtout il s’imaginait que cette pratique était très dégradante pour un homme. Comme cela devait être déjà très difficile de se retrouver attaché, livré à mon entier désir, et que je savais ce que ça lui avait coûté d’accepter tout ça, je me suis dit que je n’allais pas en rajouter une couche. Chaque chose en son temps !
Pour bon comportement, j’ai alors décidé de le délivrer et de me mettre à nu devant lui.
« Voilà Stéphane, tu es libre ! Tu as été parfaitement docile durant tout le début de mon amusant petit jeu… Tu as donc le droit à ta récompense ! Tu peux profiter de moi à ta guise, je suis à ton entière disposition. »
Pas besoin de le dire deux fois, Stéphane est venu m’embrasser tendrement comme pour me remercier d’avoir pris l’initiative d’un jeu sexuel.
« Ouf, je me sens mieux sans mes liens ! Mes mains baladeuses vont enfin pouvoir s’exprimer comme elles le souhaitent… »
Il a commencé à me caresser les seins avec douceur, comme il aimait le faire lorsque nous débutions nos ébats. Stéphane a toujours été un champion des préliminaires ! Que ce soit pour un massage, un tendre baiser ou un cunnilingus, il avait le don de me faire décoller deux ou trois fois avant de me pénétrer. Ah, je souhaite à toutes les femmes d’avoir un Stéphane auprès d’elle, c’est vraiment trop bon ! Continuant ses gestes sensuels, il est descendu juste entre mes jambes. Il a pris le temps de contempler avec amour ma chatte parfaitement bien épilée. Stéphane me complimentait régulièrement sur mon sexe, il en aimait le moindre détail, (enfin, à ce qu’il me disait) : la forme, la couleur, les plis et les replis. Ce qu’il préférait ? Son odeur. Il allait même parfois jusqu’à me voler des petites culottes dans la corbeille de linge sale et à les conserver toute la journée dans son sac pour les renifler lors de ses pauses-café.
C’était sa D r o g u e comme il aimait la décrire, sa substance licite qui le faisait planer bien haut !
Mon grand d r o g u é est venu me lécher la fente avec grande attention. Il prenait toujours soin de ma chatte comme si c’était un petit oisillon tombé du nid. Ses doigts massaient mes lèvres extérieures pendant que sa langue essayait d’animer du mieux qu’elle pouvait mon petit clitoris. Il se débrouillait vraiment comme un chef ! Tous ses mouvements étaient parfaitement synchronisés, ses coups de langue, ses succions, la pression de ses doigts…
J’avais l’impression qu’il savait exactement où, quand, et comment appuyer, comme s’il pénétrait mes pensées. C’est peut-être cette longue vie de couple qui nous a autant rapprochés l’un de l’autre et qui nous a fait développer cette espèce de télékinésie. Stéphane m’a fait un peu basculer sur le canapé, afin que ma vulve soit plus en l’air, et qu’il puisse mieux l’atteindre. De cette façon, j’avais l’impression qu’il se repaissait d’une grosse pastèque, c’était rigolo !
Sa bave dégoulinait du haut de ma petite motte et coulait jusqu’à mon nombril. Il était assoiffé ma parole ! Ou peut-être était-ce mon jus qui dégoulinait ainsi ? Je ne sais pas, mais en tout cas une chose était sûre : c’était vraiment très excitant !
Je me suis caressée les mamelons en même temps, histoire que tout mon corps soit éveillé aux doux baisers de Stéphane. J’ai fermé les yeux un instant, imaginant la scène précédente, celle où il avait les mains attachées dans le dos. J’avais vraiment pris mon pied à le voir ainsi contraint ! La petite sensation de contrôle total que j’avais ressentie à ce moment-là m’avait incroyablement excitée, j’étais alors invulnérable, toute puissante.
Bon allez, trêve de rêvasserie et revenons cinq minutes sur terre ! Mon bel étalon s’était bien occupé de moi et il m’a semblé normal de lui rendre la pareille. Je me suis baissée pour venir le pomper comme il se doit ! J’avais toujours été très généreuse lorsqu’il s’agissait des pipes, mais j’étais beaucoup moins délicate et précautionneuse que lui…
Stéphane avait une bite d’un calibre plutôt impressionnant, et je dois avouer que j’adorais ça, surtout en bouche ! J’aimais essayer tant bien que mal de l’avaler tout entière, même si cela m’était très difficile. Son gland glissait contre ma gorge sans jamais arriver à y entrer. Je serrais bien fort son sexe au niveau de ses couilles, j’avais remarqué que de cette façon-là, il était encore plus dur ! Mmmmh… J’avais l’impression d’avoir un gros sucre d’orge pour moi toute seule, bien lisse et bien sucré ! C’était vraiment délicieux.
« Je ne tiens plus, il faut que je te prenne… Maintenant ! » s’est alors exclamé mon bel amant, sûrement excité par les délices de ma fellation hors pair. Il s’est assis sur le canapé bien confortablement et je suis venue m’embrocher sur lui, comme si c’était un siège. Je me suis accroupie petit à petit, faisant durer la première pénétration un temps extrêmement long. Stéphane appuyait sur mes hanches pour me faire baisser un peu plus vite, mais je ne me laissais pas faire ! J’ai fait durer le supplice du premier coup de bite au moins trois bonnes minutes ! Une fois qu’il a touché le fond, je l’ai laissé libre de me pilonner selon son bon vouloir… Et Monsieur ne s’est pas fait prier ! Il m’a tenu bien fort par la taille et m’a fait faire un rodéo d’enfer. Il me soulevait et me faisait retomber avec une maîtrise et un contrôle assez impressionnant !
Mais Stéphane n’est qu’un homme, et au bout de quelques minutes à peine, il s’est essoufflé. « Bon, on change de position ? Je crois que j’ai ma dose de musculation pour la semaine… » Je me suis alors étendue sur le canapé, et l’ai laissé me culbuter en cuillère. Stéphane en a profité pour me donner quelques baisers amoureux sur les épaules, et pour me masser les seins avec douceur. Je me souviens de ce moment comme d’un instant très doux, très complice. Stéphane a même retourné ma tête pour plonger mon regard dans le sien et pour m’embrasser tendrement. On sentait bien que la tension du début était un peu retombée, et ce n’était pas plus mal… Un peu de douceur dans ce monde de brutes !
Stéphane s’est arrêté quelques instants et m’a dit à l’oreille : « Tu sais Mélissa, je suis vraiment très heureux avec toi, tu ne sais pas la chance que j’ai d’être tombé sur une fille comme toi. Combien de mecs ont une copine qui les attend en bas de chez eux avec les menottes à la main ? Je ne pense pas que toutes les filles soient aussi libérées que toi, et j’adore ça ! » Les mots de Stéphane m’ont fait beaucoup d’effets, moi aussi j’étais très heureuse d’être avec lui, c’était un homme tellement gentil, attentionné… Et surtout toujours partant pour me suivre dans toutes mes aventures sexuelles !
« Prends-moi en levrette ! » a été la seule réponse intelligente que j’ai trouvée sur le moment. Un peu étonné par mes mots très crus, Stéphane m’a quand même obéi et m’a fait me mettre à quatre pattes sur le canapé. Il m’a pénétrée sans grande difficulté, j’étais dégoulinante de mouille et bien ouverte !
Toujours attentif à mon plaisir, mon homme est même venu me caresser le clitoris en même temps. Il savait pertinemment que, de cette façon, j’allais jouir en quelques minutes, il connaissait mon corps à la perfection. Et ça n’a pas tardé. J’ai senti l’orgasme monter du plus profond de mes entrailles et arriver au bord de l’implosion, quelque part dans mon cerveau. « Pense au moment où il était attaché ! Pense au moment où il était attaché ! » n’arrêtais-je pas de me répéter.
La vision de Stéphane menotté face à moi un peu plus tôt a joué sur moi comme un puissant catalyseur. J’ai joui dans des spasmes intenses et saccadés. Stéphane s’en est vite aperçu et a marqué un temps de pause, le temps que je reprenne mes esprits. Il me massait les tempes en même temps afin que toutes les hormones qui explosaient en feu d’artifice dans mon cerveau se diffusent au mieux. Les sensations étaient incroyables ! Encore affaiblie par l’énergie que je venais de dépenser et le vagin encore à vif, Stéphane a repris ses mouvements de va-et-vient comme s’il ne s’était rien passé. Il me pilonnait tel un évadé de prison, et tournait mon visage vers lui pour me gober la langue. J’avais l’impression qu’il voulait carrément m’avaler toute la bouche, c’était un peu dégueu, mais terriblement excitant ! Ça y est, le gentil et attentionné Stéphane s’était éteint pour laisser place à un étalon fougueux qui n’avait qu’une idée en tête : jouir, et par tous les moyens !
Il claquait un peu mon cul rebondi pour se donner du courage. Et moi, je l’encourageais en me trémoussant sous ses yeux. J’entendais ses cris devenir de plus en plus bruyants, de plus en plus rauques. La machine était en marche, son sperme allait bientôt sortir !
« Sur quelle belle partie de ton anatomie veux-tu que j’éjacule Mélissa ? J’hésite entre ton cul, ton menton et tes seins, et je n’arrive vraiment pas à me décider entre les trois. »
J’adorais quand Stéphane me parlait sur ce ton si impérieux, on sentait bien qu’à ce moment son corps lui échappait totalement, il fallait juste que la sauce sorte de ses couilles, un point c’est tout.
Je réfléchissais un instant… Quelle partie de mon corps je préférais ? C’est vrai que j’avais un cul d’exception, mais il avait été tellement gentil avec mes seins un peu plus tôt que je me suis dit que c’était à eux que je devais réserver cet honneur ultime. Je me suis alors agenouillée devant lui et ai pressé mes deux adorables petites miches sous sa bite. Stéphane n’a eu qu’à secouer un peu sa longue tige pour que toute sa liqueur vienne asperger mes gros nichons. Encore imprégnée de foutre, je suis venue lui faire une branlette espagnole, enserrant bien sa bite qui déclinait petit à petit. Son sperme s’étalait sur mes seins, j’en avais partout !
« Tiens, et si je reprenais ma position de femme dominatrice », ai-je pensé un instant.
« À quatre pattes Stéphane, lèche-moi toute cette semence gluante ! T’es vraiment qu’un petit cochon dégueulasse. »
Il m’a regardée, amusé. « Bon t’as pas un peu fini de jouer les dominatrices, toi ? C’est amusant, je ne dis pas le contraire, mais je préfère quand même te la mettre bien profond… Lécher mon propre sperme ? C’est vraiment pas mon truc ! »
Bon, OK, reçu 5 sur 5. La prochaine fois, je l’attendrai en bas de la rue en tenue de soubrette, en train de passer un coup de balai dehors. Et je laisserai mes menottes au placard !
Mélissa
Merci pour le partage de ce moment de vie. Une telle complicité fait rêver |
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